Expatrié(e)s :
ancien(ne)s petit(e)s ami(e)s mal rangé(e)s
Pour cette journée de transition, nous privilégions Paléochora à Xania (ou
Chania ou La Canée) , la plage plutôt que la ville. On parcourt donc la plage -
sable puis galets et rochers - en direction d'Elafonisi puis au bout d'une bonne
heure et demie de marche, on se pose entre deux rochers pour s'abriter du vent
on se baigne (assez vite car l'eau reste très fraîche et retour à Paléochora,
bus en milieu d'après midi durant une heure et demie jusqu'à Xania. A Xania après le repas, on fait une petite promenade dans le quartier vénitien, aux rues animées et très étroites, avec uniquement des restaurants et des boutiques touristiques. On n'est pas encore en haute saison et pourtant il y a déjà beaucoup de monde. |
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Pour le 15 mai, notre programme Allibert n'est pas très clair, entre ballade
vers les monastères d'Akrotiri et la découverte de la ville. Comme toujours,
nous privilégions la randonnée et nous y allons en taxi, les bus étant
rarissimes pour les monastères. Après avoir tâtonné un peu, nous descendons jusqu'à la mer par un long chemin d'abord en semi-maçonné puis dans le lit d'un torrent dans une gorge (la dernière de notre voyage). Un peu avant l'embouchure, on s'aperçoit que les rochers ont... en marbre blanc! Le problème qu'on rencontre une fois arrivés à la mer, c'est que le chemin marqué sur la grande carte n'existe plus et nous rebroussons chemin car nous n'arrivons plus à continuer à flanc de colline dans de la rocaille tranchante même si elle est en marbre. Il semblerait qu'il y ait eu autrefois une carrière, car on voit au loin à l'est une grande excavation qui est tout sauf naturelle. |
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Pour remonter les presque trois cents mètres jusqu'au monastère de Governeto, il nous faut une petite heure, puis nous redescendons vers le deuxième monastère (le plus connu) où nous tentons de prendre un bus pour redescendre.. sauf qu'il n'y a aucune indication d'arrêt et les gens locaux ne savent pas s'il y en a un ou pas. On rejoint donc l'aéroport à pied à cinq kilomètres plus loin ou là, nous sommes sûrs de trouver le moyen de redescendre à Héraklion, fatigués de cette longue marche mais aussi du fait de la fatigue accumulée tout au long de ces treize jours de marche pas vraiment reposante entre dénivelés, galets et rochers des gorges ou des plages ou des champs de cailloux à escalader et à traverser. Autant dire que le soir, la promenade dans la ville de Xania s'est limitée au minimum ou presque, juste pour aller au restaurant et un court détour au retour. |
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les rues de Xania dans le quartier vénitien en bas, l'église principale, au centre e ce même quartier |
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